Bouygues Telecom et sa Fondation présentent leurs dernières actions dédiées au monde associatif

Nous sommes au Forum National des Associations et Fondations. C’est le grand rendez-vous annuel du monde associatif et on est très content d’être là et même d’être partenaire, de soutenir cet événement parce que le soutien à l’engagement a toujours fait partie de l’ADN de Bouygues Telecom. Donc c’est naturel pour nous d’être là. On a énormément de programmes de soutien aux associations au travers de l’entreprise. Pour  vous citer deux initiatives récentes. La première, c’est « Sources » chez nous. C’est un forfait solidaire, ça permet aux gens qui l’utilisent de reverser une partie des gigas non utilisés à des associations et c’est ensuite transformé en dons. Et puis une autre initiative que nous aimons beaucoup, c’est Incub’Asso, un incubateur associatif qui aide de toutes jeunes associations à se développer et à grandir. Et on les soutient pendant trois ans. Il y a une nouveauté aujourd’hui, c’est le score de digitalisation. On a constaté en discutant avec beaucoup d’associations, qu’elles n’étaient pas toutes assez matures dans l’utilisation des outils digitaux, à la fois pour les levées de fonds, le contact avec les bénévoles, le contact avec les professionnels ou les collectivités territoriales. Et on les aide à calculer leur score de maturité digitale et à partir de ça, on leur donne des conseils pour se développer.

Aujourd’hui, nous arrivons avec un score de digitalisation pour les petites et moyennes associations. Le score de digitalisation, ça sert à mesurer, là où en est une association dans sa transition numérique. Ce sont des questions qui sont sur plusieurs thématiques. Vous pouvez avoir votre communication digitale, l’animation de vos réseaux, la sécurité, la RGPD qui est très importante aussi pour les associations. Et puis, finalement vous avez un score sur 100. Et ce score sur 100, vous permet de vous évaluer dans votre transition digitale et de vous comparer aussi avec toutes les autres associations qui participent à ce score. Et une fois qu’on a ça, on a développé un partenariat avec Solidatech toute une myriade de petits conseils pour justement monter en compétences dans cette transition digitale. J’ai fait ce test pour être un peu plus performante au niveau communication sur les réseaux sociaux, digitalisation en interne aussi, parce que le but c’est de ne pas passer trop de temps sur tout ça pour aider, surtout les personnes en précarité que l’on accueille dans nos logements dans les 14 villes de France où Toi à Moi est implanté. Mon score est de 55, je crois qu’il n’est pas trop mal. Maintenant, il faut que j’aille voir les petits tutoriels qu’il y a à la fin pour mieux me rendre compte de ce que ça peut me procurer. Je vais le refaire pour bien réfléchir à toutes les questions qui me sont posées et voir les pistes d’amélioration.

A la Fondation Bouygues Telecom, on a mis en place il y a moins d’un an un incubateur dédié aux associations. Le pré-requis, c’est qu’elles doivent avoir toutes moins de trois d’existence puisqu’on sait que les associations dans leur première année d’existence, éprouvent le plus de difficultés à se développer, à trouver des mécènes, à trouver des financements. Concrètement, comment on aide ces associations ? Avec une dotation financière de 20 000 euros sur trois ans. Et puis tout un tas de services qui vont leur être utiles : un conseil juridique, des formations en ligne dédiées au secteur associatif, un mentor, c’est-à-dire un collaborateur Bouygues Telecom qui leur est dédié à raison de dix jours par an sur son temps de travail. C’est un espèce de couteau suisse dédié au secteur associatif. Les Robin.e.s des Bennes, c’est une association qui lutte contre les gaspillages et la précarité à Amiens dans les Hauts-de-France, et qui s’organise avec trois grands volets : un volet alimentaire, vestimentaire et végétal. Incub’Asso, pour moi, ça va être un accompagnement qui est vraiment cohérent, conséquent et qui va nous aider à avancer beaucoup plus vite que si on ne l’avait pas eu. On évoluait déjà à vitesse grand V et il est venu asseoir un petit peu plein de choses, c’est-à-dire que non seulement les formations, ça nous a aidé à prendre de la distance, le mentorat aussi. Donc a continué à grandir, ça nous a permis de nous structurer, de nous professionnaliser et ça va continuer. J’en suis très heureuse.